Ma note : 4,5/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Never lie (la psy)
Auteur/Autrice : Freida McFadden
Éditeur grand format : City (FR), Sourcebooks (US)
Date de sortie grand format : 2024 (FR), 2022 (US)
Nombre de pages : 320 pages
Ce que j’en ai pensé
Avant tout, je démarre par un coup de gueule contre la maison d’édition City Éditions et ses traducteurs. Le travail de traduction de ce roman et d’autres (par d’autres personnes) est à mettre à la poubelle. Un traducteur automatique a fait le boulot (en majorité au moins) et ça se sent. C’est du mot à mot, c’est mal écrit et c’est « mécanique ». J’ai lu la première moitié en français en pestant à chaque page. J’ai terminé en anglais et j’ai enfin pu profiter de la vraie belle plume de Freida McFadden ! Et je poursuivrai en anglais pour cette autrice et les autres de cette maison d’édition.
Cet aléa mis de côté, j’ai adoré ma lecture. Freida McFadden joue encore avec nos nerfs. Peut-être un peu moins que dans La femme de ménage, qui reste mon favori pour le moment.
Tricia et Ethan, jeune couple fraîchement marié, visitent une maison à vendre. Ils arrivent en plein blizzard et restent bloqués dans la gigantesque baraque. Ci et là il y a des éléments un peu louche. Ils ne sont a priori pas seuls même si une inspection complète leur prouve le contraire. La maison appartenait à une psychiatre disparue trois ans plus tôt. Sa présence, encore palpable, dérange fortement Tricia qui émet des gros doutes sur leur probable installation dans les lieux. Enfin, pour le moment, ils sont coincés et s’occupent tant bien que mal. Tricia découvre une pièce secrète dans le bureau de la psy. Y sont stockées les cassettes des séances avec ses patients. Elle se met à les écouter. Peut-être découvrira-t-elle où est la psy !
Tout au long du récit, la tension règne. La tempête de neige, la grande maison vide, les cassettes étranges, les petits bruits… d’autres éléments bizarres arrivent aussi et mettent sur quelques pistes évidentes. J’ai failli être déçue mais, prise dans le récit, j’avais oublié le machiavélisme de l’autrice avec ses lecteurs !
Je ne peux que vous le conseiller, en anglais de préférence !
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