Ma note : 4,75/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Mon territoire
Auteur : Tess Sharpe
Éditeur grand format : Sonatine
Date de sortie grand format : 28 août 2019
Nombre de pages : 566 pages
Résumé : À 8 ans, Harley McKenna a assisté à la mort violente de sa mère. Au même âge, elle a vu son père, Duke, tuer un homme. Rien de très étonnant de la part de ce baron de la drogue, connu dans tout le nord de la Californie pour sa brutalité, qui élève sa fille pour qu’elle lui succède. Mais le jour où Harley est en passe de reprendre les rênes de l’empire familial, elle décide de faire les choses à sa manière, même si cela signifie quitter le chemin tracé par son père.
Ce que j’en ai pensé
Je me suis lancée dans ce roman en suivant les yeux fermés les avis ultra positifs des bookstagrammeurs.euses que je suis et auxquel.le.s je peux me fier pour les conseils lectures et j’ai eu raison !
Mon territoire est l’histoire d’Harley. Harley est la fille du boss bad ass de la ville et alentours. A huit ans juste après avoir vu sa mère mourir, elle voit son père torturer et tuer un homme. Ce père qu’elle vénère malgré tout et qui fait d’elle sa fidèle héritière pour tenir les rennes de ce Territoire de drogue, sexe et alcool. Mais le jour où c’est au tour d’Harley de prendre les commandes, elle décide de ne pas suivre la route tracée par ce père violent et illégal. Avec toute la force qu’elle va puiser au fond d’elle, elle veut créer un monde où les femmes sont aidées, où la drogue ne transite pas par elle ni dans sa ville. En bref, un nouveau territoire tout neuf et le plus propre possible. Un idéal ? Peut-être mais Harley a les ovaires (clin d’oeil à toi, amie lectrice) qu’il faut pour se battre jusqu’à la mort s’il le faut pour faire de ce Territoire son Territoire rêvé.
Ce roman est une force d’acharnement. Harley est une femme à laquelle on s’attache immédiatement et qui dégage une aura de fou. Elle a une rage de vivre, une rage d’envie d’évolution et une hargne pour y arriver. Corps et âme, elle se donne de toute son énergie. S’il n’y avait pas eu Bohem et Nous rêvions juste de liberté d’Henri Loevenbruck, elle aurait été mon personnage préféré d’octobre !
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