Résumé de l’éditeur
Charles Bertin, qui est né en 1919, a rêvé de sa grand-mère, morte depuis un demi-siècle. Au matin, ce rêve lui est apparu comme le signe qu’il fallait sans délai rendre visite à la petite dame en son jardin de Bruges.
Dans la manière d’un tissage aux laines délicates se compose alors, au fil du voyage, un portrait d’une tendresse si sensible et d’une véracité si évidente que nul ne saurait lire ces pages sans aller aussitôt à ses propres souvenirs, ni sans ressentir, à l’exemple de Charles Bertin, l’effroi de revoir si bien sans jamais pouvoir franchir le glacis qu’impose la mort.
Ce que j’en ai pensé
Ce roman était le second livre reçu dans feu la box littéraire Livre-moi(s). Je ne me souviens pas précisément de mes choix mais c’était tombé très très à côté. La couverture ne m’attirait pas plus que le résumé mais j’ai voulu donner une chance à ce livre et au choix des libraires.
Soyons clair, ce n’est absolument pas le genre de littérature qui me plait. Le livre est court (ouf) et bien écrit (double ouf). L’histoire peut plaire, il y a de bons éléments mais malheureusement, ça n’a rien donné avec moi.
Ce roman belge du début du XXème siècle est l’ode d’un petit-fils à sa grand-mère décédée. Il se souvient de leur vie, de leurs joies, leurs échanges, leurs partages. Hélas, je n’ai pas ressenti l’âme de cette grand-mère perdue, ni les joies partagées par le passé. Cela n’a pas réveillé mes propres souvenirs avec mes grands-mères. J’ai trouvé l’histoire plate.
Tout en n’étant absolument pas mon style, ce roman une belle poésie et plein de bons sentiments. Si vous aimez les romans dits « classiques » au style un peu pompeux et/ou les histoires familiales, allez-y. Sinon… allez lire mes autres chroniques, vous avez la liste sur la page des livres lus 😉
Ma note : 1/5
Laisser un commentaire