Ma note : 3/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Contagion
Auteur : Lawrence Wright
Éditeur grand format : Cherche Midi
Date de sortie grand format : 15 octobre 2020
Nombre de pages : 473 pages
Résumé : En Asie, 47 personnes succombent à une fièvre mystérieuse. Envoyé sur place par l’OMS, Henry Parsons, épidémiologiste de renom, découvre à quel point le virus est contagieux. Lorsqu’il apprend qu’un homme contaminé est en route vers La Mecque, où des millions de musulmans vont être rassemblés pour le pèlerinage annuel, c’est le début d’une course contre la montre pour enrayer l’épidémie. Mais, en quelques semaines seulement, le monde entier est touché et sombre dans une crise sans précédent. La maladie se propage, mettant à mal les institutions scientifiques, religieuses et politiques, et décimant une partie de la population. Trouvera-t-on la solution à temps ?
Ce que j’en ai pensé
Un thriller en dent de scie pour moi ! Depuis le début de la crise Covid-19, j’ai lu quelques récits pandémiques. Celui-ci m’attirait beaucoup mais j’ai eu une lecture trop hachurée niveau rythme et sensation.
On suit principalement Henry Parsons, docteur épidémiologiste qui travaille avec l’OMS sur l’arrivée d’un nouveau virus en Indonésie. Il a frappé dans un camp et décimé une partie des réfugiés. Malheureusement, un musulman pratiquant ayant été contaminé part pour un pèlerinage à la Mecque où des millions de musulmans du monde entier se retrouvent. Le pied pour un virus virulent !
Autant le début est hyper entrainant et le virus intrigue autant la suite m’a paru trop fractionnée de détails très documentés sur la virologie. Côté recherches, Lawrence Wright coche toutes les cases ! C’est hyper précis et passionnant mais j’ai eu parfois l’impression de lire un extrait de revue scientifique et cela m’a éloignée du récit en lui-même. C’est vraiment dommage car le sujet, hautement d’actualité, est palpitant et creusé à merveille.
Bref, un thriller collapsologique qui part bien mais s’essouffle et se ralentit dans trop de détails qui m’a fait mettre de côté l’empathie pour les personnages.
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