Ma note : 5/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Juste après la vague
Auteur : Sandrine Collette
Éditeur grand format : Denoël
Date de sortie grand format : 18 janvier 2018
Nombre de pages : 304 pages
Résumé : Il y a six jours, un volcan s’est effondré dans l’océan, soulevant une vague titanesque, et le monde a disparu autour de Louie, de ses parents et de ses huit frères et sœurs. Leur maison, perchée sur un sommet, a tenu bon. Alentour, à perte de vue, il n’y a plus qu’une étendue d’eau argentée. Une eau secouée de tempêtes violentes, comme des soubresauts de rage. Depuis six jours, ils espèrent voir arriver des secours, car la nourriture se raréfie. Seuls des débris et des corps gonflés approchent de leur île.
Et l’eau recommence à monter. Les parents comprennent qu’il faut partir vers les hautes terres, là où ils trouveront de l’aide. Mais sur leur barque, il n’y a pas de place pour tous. Il va falloir choisir entre les enfants.
Ce que j’en ai pensé
A quelques heures du départ vers l’île de République Dominicaine, j’ai eu un besoin soudain et urgent de me procurer ce roman pour le lire dans l’avion pendant le trajet ! Quelle idée, n’est-ce pas de se lancer dans un récit post-tsunami qui se déroule sur une île non-située géographiquement et qui pourrait être n’importe laquelle de la planète ? Eh bien, j’ai eu raison !
Décidément, la plume de Sandrine Collette fait mouche à chaque fois avec moi ! Les ingrédients sont les mêmes mais l’émotion change à chaque récit. On retrouve, comme dans les autres romans (au moins ceux que j’ai déjà lus), la nature comme personnage faisant partie intégrante du roman, qui est face au petit groupe de protagonistes. Ici, c’est l’eau qui se bat contre une famille qui se retrouve devant un choix impossible à faire. L’eau monte de plus en plus, la nourriture manque et la famille doit quitter la maison tout en haut sur la colline. Le hic ? La barque ne peut pas supporter tout le monde. Quels enfants va-t-il falloir laisser de côté ?
Juste après la vague est un roman terriblement poignant, où l’ont retrouve la dureté et le sadisme de Sandrine Collette (Rappelez-vous Des nœuds d’acier !). J’en redemande et j’avais bien fait d’ajouter un autre de ces romans dans ma PAL des vacances ! (je vous en parle bientôt !)
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